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Le “Club des entrepreneurs de REAGE” organise la Première rencontre d’affaires euro-algériennes “Internationalisation des entreprises algériennes”, le 23 mai 2009, à Paris, avec la participation des grands décideurs du groupe CEVITAL, du Forum des Chefs d’Entreprises (*), du groupe NCA-ROUIBA, de Satlinker, de Netskills, de ABM, de ALGEX (Algérie Export).

Une délégation de chefs d’entreprises algériennes et françaises participera à cette grande journée.

Trois grands secteurs seront à l’ordre du jour de tables-rondes. Au cours de la matinée (accès libre), trois conférences pour aller à la découverte de marchés porteurs en Algérie : – secteur agroalimentaire, – secteur outsourcing, – secteur TIC.

Dans l’après-midi, des tables-rondes permettront de “ développer (le) réseau professionnel “ des membres du REAGE par la rencontrer avec “ des entrepreneurs porteurs de projets ainsi que de nombreux cadres dirigeants, des experts issus des secteurs d’activités “ des secteurs ci-dessus cités. Elles seront aussi une opportunité d’aborder les problématiques de l’export/import et de l’investissement industriel.

Parmi les partenaires du Club des entrepreneurs de REAGE, on compte côté européen, UBIFRANCE et ESCP Europe.

Cette première rencontre durera toute la journée et se déroulera à l’ESCP Europe (Ecole supérieure de commerce de Paris devenue ESCP Europe).

Il faut noter qu’une rencontre quasi-similaire a eu lieu, à Alger, en avril dernier : les “Rencontres franco-maghrébines d’affaires TIC, Télécom & Multimédia”
Ces Premières Rencontres font suite à une dizaine de rendez-vous qui ont lieu depuis 2002 en Tunisie et au Maroc. Organisées par Marseille Innovation, le ministère algérien de l’Aménagement du territoire et l’ANPT, elles intervenaient dans le cadre du Programme européen InvestMed, lequel est une opportunité de référence pour les partenariats commerciaux entre les entreprises françaises et du Maghreb.

Adresse: 79, avenue de la République – 75011 Paris (M° Saint-Maur) – France
Contact: entrepreneurs@reage.net
Site: http://www.reage.net/

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(*)sous réserve.

Le guide sur “La présence française en Algérie” vient d‘être publié. Il répertorie 384 implantations françaises en Algérie.

Outre ces données, la publication nous donne un panorama sur les investissements étrangers en Algérie avec une bonne approche de fond, en matière de leurs origines et les secteurs de destination et, plus près, pour les investissements français ainsi que la liste des maisons-mères.

Cependant, si l’on apprend qu’“En termes de flux cumulés (1), l’Algérie a reçu près de 9 Mds USD d’investissements étrangers, dont 26% de la part des Etats-Unis, 14% de la France et 9% de l’Espagne, qui constituent les trois premières sources d’IDE (*) sur la période 1998-2007”, il ne pourrait être possible d‘établir des pronostics au-delà de 2007, “aucune projection n’est disponible pour les années à venir, mais la tendance pourrait encore s’accélérer avec les perspectives importantes d’amélioration du climat d’affaires et grâce au potentiel du marché intérieur ; de nombreux projets structurants sont annoncés, notamment dans le secteur énergétique ou dans l’industrie.”

La France demeure le premier investisseur européen en Algérie, mais aussi le premier investisseur hors hydrocarbures, ceux-ci faisant l’objet surtout d’investissements de la part des Etats-Unis qui ont pris pied, comme on le sait, dans le secteur énergétique algérien avec un accroissement accru depuis 2001.

Bien sûr, la crise financière – et par extension le gel de tous les investissements des entreprises mondiales fortement touchées – pourrait remettre à la baisse les projets envisagés. Donc, une plus grande prudence sur les hypothèses à avancer, voire même que certaines entreprises françaises ont dû certainement fermer leurs implantations, données qu’Euro-Algeria News n’a pas établies…

Editeur : UBIFRANCE
Référence : B0847854A
2008 – 145 pages – 122 € HT
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(1) Note du guide : “Notion à dissocier de celle de stock d’IDE (pas de données disponibles), ne prenant pas en compte le phénomène de désinvestissement, ni le rachat par un opérateur étranger d’actifs détenus en Algérie par un autre investisseur étranger.”
(*) Investissements directs étrangers.